THOMAS DAKIN LONDON DRY GIN

L’HOMMAGE AU PIONNIER DU GIN ANGLAIS

Le gin Thomas Dakin a vu le jour en 2015 au sein de la micro-distillerie Greenall à Manchester.
La recette de ce gin rend hommage à l’histoire du distillateur du même nom : Thomas Dakin, distillateur de gins au milieu du XVIIIème siècle et surtout pionnier du gin anglais, à Warrington (Manchester).
En effet, le nouveau gin de 2015, s’inspire de la recette originelle de Thomas Dakin, tout en respectant le type du gin typiquement anglais : le London Dry Gin.
Il aura fallu une année à Joanne Moore, maitre-distillateur pour concevoir la nouvelle version du Thomas Dakin London Dry Gin de 2015.

Le Thomas Dakin London Dry Gin est élaboré de façon artisanale avec 11 botaniques sélectionnées
et ajoutées à la main au distillat de grain neutre et à l’eau déminéralisée.

COMPOSITION PRINCIPALE :

Baies de genièvre, raifort, réglisse,
poivre cubède, peau d’orange , coriandre anglaise,
racines d’angélique, zeste de pamplemousse

CONSEIL DE DÉGUSTATION : Gin Tonic

– 40 ml de Thomas Dakin London Dry Gin
– Zeste d’orange
– 200 ml Fever Tree Mediterranean Tonic Water

Le gin est un spiritueux dont la base est un alcool neutre aromatisé principalement par la baie de genièvre.

Origines

Le gin est l’évolution d’une eau-de-vie très ancienne, le genièvre. Elle a été produite pour la première fois au XVIIe siècle aux Pays Bas. Il se serait répandu en Angleterre quand Guillaume d’Orange Nassau, prince hollandais devint roi d’Angleterre. Dû à l’interdiction d’importation d’eaux-de-vie étrangères, les distilleries anglaises ont produit un alcool similaire, le gin.

Principaux types

London Dry Gin : Sans avoir besoin d’être produit à Londres, aucun arômes artificiels ne doit être ajouté afin de ne pas être dénaturé.

Compound Gin : Gin avec des concentrés aromatiques ajoutés, sans redistillation.

Yellow Gin : Gin vieilli en fût de chêne.

Old Tom Gin : Avec du sucre et arômes plus concentré.

La fabrication

Elaboration d’un alcool neutre : Production d’un alcool, souvent de grain (max 96%) dans un alambic. C’est la première distillation.

Distillation : Plusieurs méthodes de distillation existent (colonne, alambic, …) ayant pour but de séparer l’alcool de l’eau par un système de chauffe. C’est à ce moment que l’aromatisation se fait par infusion et/ou par macération.

Par infusion : une poche contenant les aromates est fixée dans l’alambic au-dessus du liquide afin que la vapeur d’alcool s’imprègne des arômes
Par macération : Les aromates sont placés directement dans l’alcool neutre entre 1 et 2 jours. Ainsi, la concentration en arôme sera plus importante.

Filtration et dilution : Le distillat est mis au repos puis filtré et dilué jusqu’à arriver au degré d’alcool souhaité.